L’été est partout où l’on peut entendre des chansons de Marc Sway. Le son de Marc Sway et de son groupe en live est encore plus chaud que sur le système audio Bowers & Wilkins qui équipe notamment la XC90 Recharge de notre «Friend of Volvo». Voici une sélection de quelques concerts où ils peuvent être vus et entendus cet été.
Blues’n’Jazz, Rapperswil-Jona, samedi 11 juin
Un château, un lac et une ambiance comme on en rencontre qu’au Blues’n’Jazz de Rapperswil-Jona. Ce festival en plein air est organisé depuis 1999 sur trois scènes dans la vieille ville de Rapperswil. L’événement attire chaque année entre 20 000 et 35 000 festivaliers. La scène où Marc Sway se produira en tête d’affiche a déjà accueilli des stars comme Joss Stone, Candy Dulfer ou Bob Geldof.
Festival FL1, Schaan, samedi 2 juillet
Non, il ne s’agit pas encore d’une tournée internationale, même si Marc Sway se produit dans la Principauté du Liechtenstein. Organisé dans la principauté depuis 2010, le festival en plein air de Schaan a toujours lieu en été. «Le festival FL1.LIFE réunit la musique, la culture et la performance artistique au plus haut niveau», peut-on lire sur le site Internet. Les grandes stars jouent certes en intérieur, mais l’ambiance d’open air règne également dans l’espace en plein air gratuit qui propose un programme musical, artistique et culturel varié pour petits et grands.
Moon & Stars, Locarno, samedi 16 juillet
Organisé au cœur de Locarno, le Moon & Stars compte parmi les plus beaux festivals de Suisse. Aucun festival en plein air n’offre une atmosphère plus méditerranéenne. D’autant plus quand Marc Sway fait vibrer le public avec ses chansons empreintes d’énergie positive.
Festival à la patinoire de Wetzikon, samedi 27 août
Pour célébrer ses cent ans, le FC Wetzikon a imaginé quelque chose de très spécial et invite à une gigantesque fête. Marc Sway sera lui aussi de la partie et mettra une ambiance de feu parmi les fans du FCW. Et aussi parmi les autres fans de Marc Sway, bien sûr.
Photos: mises à disposition par Marc Sway, © Jonathan Heyer